Jérémy est un jeune cadre d’entreprise de 37 ans qui souhaite percevoir des compléments de revenus afin de préparer sa retraite. Il décide alors d’investir dans l’immobilier et se rend chez un gestionnaire de patrimoine afin de bénéficier de ses conseils personnalisés.
En effet, il souhaiterait investir en SCPI ou société civile de placement immobilier, ce produit de la pierre-papier à la rentabilité attractive. Son conseiller l’accueille à son cabinet et tous deux se mettent aussitôt au travail : ils étudient ensemble le profil de Jérémy en tant qu’investisseur afin de déterminer le produit qui lui convient le mieux par rapport à ses objectifs.
En premier lieu, le conseiller lui rappelle le principe de l’investissement en SCPI: Jérémy va souscrire à des parts auprès d’une société de gestion agréée par l’Autorité des Marchés Financiers. Cette dernière se charge en effet de collecter les fonds nécessaires à l’acquisition du patrimoine immobilier à exploiter par le biais de la mise en location. C’est également ladite société de gestion qui va percevoir les loyers et les redistribuer ensuite sous forme de dividendes auprès des actionnaires tels que Jérémy. Cela en fonction de la quote-part de ces derniers.
Jérémy possède un niveau de tolérance aux risques plus ou moins élevé. Il ne souhaite cependant pas donner la priorité à la défiscalisation, et pour cela, n’est donc pas intéressé par les SCPI fiscales. De même, il souhaite percevoir des dividendes de façon régulière et non au moment de la revente de l’immobilier uniquement : il met de côté les SCPI de plus-value. En revanche, il souhaite plutôt réaliser un certain profit et accorde alors plus d’importance au rendement généré par l’investissement. Son conseiller lui recommande les SCPI de rendement qui exploitent de l’immobilier d’entreprise dont le loyer est nettement plus élevé que les autres types d’immobilier. En effet, la rentabilité annuelle de ces dernières peut atteindre jusqu’à 6% et même plus.